L’œuvre de Charles-Blanc Gatti (1890-1966), figure trop méconnue de la peinture musicaliste, se situe entre une quête d’harmonie synesthésique et la perte de repères sensoriels. Ces deux versants sont abordés dans l’exposition Vertige des correspondances à travers le prisme de la relation que l’artiste suisse a entretenu avec l’espace alpin. A l’occasion d’une exposition réalisée par les étudiants du Master Arts Visuels de l’ECAL, dans le cadre d’un projet de recherche sous la direction de Julien Fronsacq et soutenu par la HES-SO.